Brésil

Les autres informations 29 avril 2018
En mars 2018, des militants des Amis de la Terre Finlande et d'une association de solidarité avec les paysans sans terre dans le monde (Maattomien ystävät ry - en finnois) ont de nouveau manifesté en Finlande lors de l'assemblée générale des actionnaires de la société Stora Enso qui, avec le brésilien Fibria, sont les propriétaires de Veracel Celulose au Brésil.
Articles de bulletin 7 March 2018
Ce bulletin, en cette Journée internationale des femmes, constitue un appel à la solidarité directe et radicale avec les femmes qui souffrent, résistent, s’organisent et se mobilisent contre cette violence et ces mauvais traitements quotidiens qu’entraînent les plantations industrielles
Articles de bulletin 7 March 2018
Comment l’organisation, la division sexuelle et la précarisation du travail dans l’industrie agro-alimentaire affectent la santé des ouvrières et comment les transformations territoriales dérivées de ce modèle de production affectent directement les femmes
Les autres informations 7 March 2018
Le Mouvement des personnes affectées par les barrages (Movimiento de Afectados por las Represas, MAB pour le sigle en portugais) alerte sur le fait que la construction des barrages touche de manière plus intense les femmes et que ce sont elles qui voient leur droits violés le plus brutalement. L'incitation à la prostitution et au trafic des femmes, des problèmes qui ont lieu avec la complicité des entreprises, est un drame assez bien connu.
Les autres informations 10 janvier 2018
La IIIe Conférence triangulaire des peuples organisée par la campagne No a ProSavana à Maputo, au Mozambique, en octobre 2017, a réuni des représentants et des organisations du Brésil, du Mozambique et du Japon. Cette Conférence s'inscrit dans un contexte où le gouvernement du Mozambique privilégie les partenariats publics-privés qui ont comme objectif principal de permettre l'arrivée d'investissements importants dans l'industrie agroalimentaire, les activités minières et les hydrocarbures.
Les autres informations 9 janvier 2018
La IIIe Conférence triangulaire des peuples organisée par la campagne No a ProSavana à Maputo, au Mozambique, en octobre 2017, a réuni des représentants et des organisations du Brésil, du Mozambique et du Japon. Cette Conférence s’inscrit dans un contexte où le gouvernement du Mozambique privilégie les partenariats publics-privés qui ont comme objectif principal de permettre l’arrivée d’investissements importants dans l’industrie agroalimentaire, les activités minières et les hydrocarbures.
Les autres informations 9 janvier 2018
Près de cinquante ans après le début de sa mise en place, la monoculture de l'eucalyptus est devenue le facteur majeur de la détérioration des ressources hydriques dans la zone semi-aride du Minas, selon le technicien Walter Viana, responsable du Contrôle de l'environnement de la Direction générale de l'environnement et du développement durable du Nord du Minas et auteur d'une thèse sur la désertification dans la région.
Articles de bulletin 23 novembre 2017
Entretien avec Roberto Liebgott, coordinateur du Conseil régional des missionnaires indigènes (CIMI) du Brésil. WRM : La façon dont la législation du Brésil reconnaît les droits autochtones a constitué un exemple pour les autres pays du monde et a inspiré les peuples autochtones et leurs luttes dans d’autres pays. Quelles sont les caractéristiques les plus importantes de cette législation ?
Les autres informations 23 novembre 2017
Depuis 2003, le campement qui porte le nom de l’écologiste José Lutzenberger a concilié la production d’aliments sans produits agrotoxiques et la récupération de la forêt native de la région, la « Mata Atlántica. » C’est pourquoi ce campement a remporté le prix Juliana Santilli dans la catégorie expansion et conservation de l’agrobiodiversité. La zone, dégradée pendant des décennies par l’élevage pratiqué par les grands propriétaires terriens, a récupéré lentement.
Actions en cours 3 octobre 2017
Disponible uniquement en portugais et anglais
Actions en cours 28 septembre 2017
L’un des objectifs du coup d’État de 2016 a été d’augmenter et d’accélérer de manière effrénée le soutien de l’État brésilien aux grandes corporations, qui sont les principales responsables de la pollution environnementale.