Femmes en résistance
Lorsque les forêts sont détruites, les femmes des communautés dépendantes des forêts sont durement touchées : Leurs conditions de vie sont particulièrement précaires et il devient encore plus difficile pour elles de se procurer de la nourriture, des remèdes, des matériaux et de l’eau potable. La sagesse et le savoir traditionnels que les femmes se transmettent de génération en génération sont également menacés. C’est pourquoi les femmes sont souvent à l’avant-garde de la résistance contre la destruction des forêts.
Nous invitons les organisations à signer et à soutenir la déclaration, qui dénonce le fait que la RSPO, depuis sa création il y a 14 ans, est un outil au service des intérêts commerciaux du secteur de l'huile de palme.
Décidé à Mundemba, au Cameroun, réitéré à Port Loko, Sierra Leone, et nous réaffirmons à Abidjan, Cote d'Ivoire: STOP aux abus faits aux femmes dans les plantations industrielles de palmier à huile !
Décidé à Mundemba, au Cameroun, réitéré à Port Loko, Sierra Leone, et nous réaffirmons à Abidjan, Cote d'Ivoire: STOP aux abus faits aux femmes dans les plantations industrielles de palmier à huile !
Une collection d'articles publiés dans le Bulletin du WRM sur les impacts des plantations et la Résistance des femmes.
Depuis les violences sexuelles, les fouilles forcées des corps et des espaces privés jusqu’au risque de perdre la vie, voilà quelques-unes des violences subies par les femmes qui vivent à proximité des plantations forestières industrielles au Cameroun. Cet article lance un appel pour que nous ne soyons pas complices de ces violences.
Une femme du village de Mbonjo 1, au Cameroun, fortement impactée par les plantations industrielles de palmiers à huile et la présence constante des militaires, appelle à la solidarité internationale et lance un cri d’alarme pour protéger ses droits à la vie et à la liberté.
De plus en plus, les plantations entourent et engloutissent les communautés. Pour trouver leurs moyens de subsistance les femmes doivent traverser à pied des terres occupées par les entreprises. Cela peut, entre autres choses, leur coûter la vie.
En Afrique australe, le paradigme extractiviste menace la vie et les moyens d'existence des communautés paysannes, en particulier ceux des femmes et des filles : Depuis la Province de Tete au Mozambique, où les femmes sont confrontées à la pénurie d'eau et la pollution, jusqu'à la communauté Marange au Zimbabwe, où la vie quotidienne des femmes est hantée par une violence militarisée et souvent sexualisée.