Luttes contre les monocultures d’arbres

La recherche de profit par les entreprises se traduit par des accaparements de terres qui visent à mettre en place des monocultures industrielles d’arbres. Là où les plantations industrielles s’installent durablement, elles entraînent des incursions violentes dans les terres et les vies des communautés, la destruction de leurs forêts et la pollution de leurs sources d’eau. Lorsque les communautés résistent, les entreprises ont tendance à réagir de manière agressive. Malgré cette violence extrême, dans le monde entier, les communautés résistent, s’organisent et unissent leurs forces pour défendre leurs territoires. Chaque 21 septembre, la Journée internationale de lutte contre la monoculture d’arbres est célébrée.

Articles de bulletin 15 décembre 2024
La « Déclaration de Mouila », qui vient d’être publiée, est un message de résistance, de solidarité et d’unité des communautés et des organisations de terrain de l’Alliance informelle contre l’expansion des monocultures industrielles.
Articles de bulletin 24 octobre 2024
En plus des impacts directs sur la vie des communautés, les monocultures d'eucalyptus représentent une inégalité absurde et obscène. Un groupe de 45 résidents des communautés auxquelles nous avons parlé a été abasourdi d'apprendre qu'ils devraient travailler 2 300 ans de suite pour toucher collectivement, pour leur travail, ce que la famille pour laquelle ils travaillent a obtenu en un an, uniquement par le biais des titres d'une de leurs propriétés.
Articles de bulletin 25 octobre 2023
Les échanges entre activistes placent au cœur du débat les voix de ceux qui luttent pour la défense de leurs territoires. En septembre, des membres de plusieurs communautés du Brésil et du Mozambique ont mis en commun leurs luttes et histoires. Cela a contribué à renforcer la solidarité dans la lutte contre les plantations industrielles d’arbres.
Articles de bulletin 30 March 2023
Au pied du Mont Mabu, au Mozambique, l'expansion de la monoculture de l'hévéa a limité l'accès des communautés Manhaua à leur propre territoire. Ce processus a lieu par des abus systématiques, reflétant le contraste entre les différentes manières dont la population locale et le capital étranger se mettent en relation avec l'environnement dans lequel ils se trouvent.
Multimedia 22 March 2023
La société de plantation de palmiers à huile Socfin est synonyme de violence et d’oppression dans plusieurs pays africains. La Sierra Leone ne fait pas exception.
Articles de bulletin 16 janvier 2023
La société de plantation de palmiers à huile Socfin est synonyme de violence et d’oppression pour les communautés affectées dans plusieurs pays africains. La Sierra Leone ne fait pas exception. En collaboration avec Aminata Finda Massaquoi, journaliste et coordinatrice nationale du réseau de défense des droits des femmes WORNAPI, le WRM publie un podcast pour mettre en avant les voix des femmes qui vivent les impacts des plantations industrielles.
Articles de bulletin 11 octobre 2022
Les membres de l’Alliance informelle de lutte contre l’expansion des plantations industrielles de palmiers à huile en Afrique occidentale et centrale ont publié une déclaration pour continuer à briser le silence sur les nombreux abus autour des plantations industrielles et pour réaffirmer leur ferme engagement à résister à leur expansion pour défendre leurs territoires et leurs vies.
Articles de bulletin 17 décembre 2021

Sous prétexte de “reboisement » et à la promotion de la monoculture d´arbres en tant que solution pour la crise climatique, les familles atteintes au Mozambique, Tanzanie et Brésil ont encore une fois dénoncé les graves impacts dans leur vie et dans l´environnement.

Actions en cours 30 septembre 2021

Disponible uniquement en anglais et portugais.

Articles de bulletin 27 septembre 2021

La société de plantation de palmiers à huile Socfin a été synonyme de violence pour les communautés. Pourtant, les femmes doivent affronter un autre système patriarcal plus proche de chez elles : les chefs suprêmes.

Multimedia 8 septembre 2021

Nous partageons cette chanson, composée par les organisations Justicia Ambiental, Missão Tabita et AJOCME, du Mozambique.