Au milieu d’un désert vert de 60 000 hectares de plantations de palmiers à huile se trouvent 150 hectares de terres agricoles et boisées qui appartiennent au village d’Apouh A Ngog de la région d’Edéa, au Cameroun.
Le village en question, comme tant d’autres, est encerclé par les plantations et, depuis des années, est en conflit avec Socapalm, filiale locale du groupe français Bolloré [1].
Cameroun
Articles de bulletin
30 octobre 2010
Articles de bulletin
29 juillet 2010
La plupart des Baka, des Bagyeli et des Bakola, que l’on appelle « les gens de la forêt », vivent toujours de la chasse et de la cueillette et, bien que certains fassent aussi des cultures annuelles, la majorité sont encore tributaires de la forêt. Pour eux, la forêt est leur foyer ancestral, leur épicerie, la racine de leur existence et leur droit coutumier [cf. Bulletin nº 87 du WRM].
Les autres informations
29 juin 2010
A la suite des deux récentes plaintes déposées par l’industriel français M. Vincent Bolloré contre Radio France sur le thème, notamment, des plantations de la Socapalm (Société Camerounaise de Palmeraies), la photographe Isabelle Alexandra Ricq et le chercheur Julien-François Gerber reviennent points par points sur dix mensonges fréquemment avancés par les défenseurs de l’homme d’affaire.
Articles de bulletin
30 janvier 2009
Establecer un bosque comunal puede parecer una buena idea. Sin embargo, también podría no serlo, según muchos lugareños del distrito de Dzeng (Provincia Central, Departamento de Nyong y So'o), quienes denunciaron el intento del actual alcalde de Dzeng por utilizar sus tierras boscosas para una explotación comercial.
Les autres informations
30 janvier 2009
Esta nueva publicación de la Serie del WRM sobre Plantaciones (*) examina la resistencia de las poblaciones vecinas a las dos mayores plantaciones industriales de árboles de África: el monocultivo de caucho Hévéa-Cameroun (HEVECAM) y la plantación de palma aceitera Société Camerounaise de Palmeraies (SOCAPALM).
Publications
22 décembre 2008
Par Julien-François Gerber.
Populations locales versus plantations commerciales d’hévéas et de palmiers à huile dans le Sud-Cameroun.
Téléchargez le document en pdf : Résistances contre deux géants industriels en forêt tropicale
Publications
15 décembre 2008
Disponible uniquement en anglais.
Oil palm and rubber plantations are very similar in many respects, but there is something that clearly differentiates them: oil palm is a native species in many West African countries –and part of the culture of local peoples- while rubber is clearly an alien species brought in by the Colonial powers.
Articles de bulletin
27 septembre 2008
Disponible uniquement en anglais, espagnol et portugais.
Articles de bulletin
8 novembre 2007
Les politiques économiques du Cameroun depuis son indépendance se sont caractérisées surtout par la promotion institutionnelle des grandes plantations industrielles. Entre 1971 et 1981, l’État y a consacré non moins de 60 % des fonds publics réservés au développement agricole. Le plus important est que ces grandes plantations ont toujours été dominées, et le sont encore, par une poignée de sociétés agro-industrielles, très protégées, oligopolistiques et dépendantes de technologies à grande intensité capitalistique.
Articles de bulletin
17 octobre 2007
J’ai visité le Cameroun en décembre 2006, et je m’y suis rendu encore en septembre 2007. Les deux fois j’ai été choqué par la quantité de camions chargés de grands troncs d’arbres tropicaux qu’on pouvait voir sur presque toutes les routes. La plupart étaient acheminés vers les ports d’où ils allaient être exportés, sans traitement aucun, surtout vers les pays du Nord.
Articles de bulletin
18 juillet 2007
Les peuples autochtones qui habitent les forêts tropicales d’Afrique centrale sont très dispersés et leurs groupes s’identifient par des noms divers. Les membres des populations de plusieurs groupes ethniques qui se caractérisent par leur petite taille reçoivent l’appellation générique de « pygmées » et sont au nombre de 300 000 à 500 000 (voir le bulletin nº 119 du WRM).
Articles de bulletin
19 juin 2007
Les cueilleurs chasseurs autochtones des forêts d’Afrique centrale, les dénommés Pygmées, comprennent au mois 15 groupes ethnolinguistiques différents, dont les Gyéli, les Kola, les Baka, les Aka, les Bongo, les Efe, les Mbuti, les Twa de l’Ouest et les Twa de l’Est, qui habitent dans dix pays centrafricains : Angola, Cameroun, Guinée Équatoriale, République centrafricaine, Gabon, République du Congo (le Congo), République démocratique du Congo, Ouganda, Rwanda et Burundi. On estime que leur population totale est de 300 000 à 500 000 personnes.