Une plainte a été déposée auprès du Comité des Nations Unies sur les droits économiques, sociaux et culturels (CDESC) pour vérifier les impacts négatifs et les possibles violations des droits de l'homme en Uruguay résultant des conditions établies dans le contrat d'investissement signé entre la multinationale finlandaise UPM et le gouvernement uruguayen pour l'installation d'une nouvelle usine de pâte à papier dans le pays. « UPM a décidé de sélectionner et d'évaluer les impacts sur les droits de l'homme qu'il préférait et a déclaré que ces ‘décisions seraient prises en gardant à l'esprit les meilleurs intérêts d'UPM’, en protégeant ‘les actifs et les informations d'UPM, sa réussite financière […] et sa croissance’, fondamentales […] pour les parties prenantes concernées », a déclaré Ville-Veikko Hirvelä, représentant les organisations plaignantes. Pour plus d'informations en espagnol ici et en anglais, ici