L’expansion rapide de la culture du palmier africain au Honduras a eu de profondes répercussions socio-écologiques sur la population noire, indigène et paysanne, en portant atteinte à leur droit légitime à la terre, à l’alimentation et à une vie digne, et en criminalisant ses combats de résistance. Le besoin d’analyser, de débattre à fond et de chercher des stratégies communes pour lutter contre un système de production qui accapare des territoires et déplace des communautés a été l’un des objectifs principaux du forum-atelier «Les agrocarburants, le palmier africain et leurs effets sur la souveraineté alimentaire», organisé le 9 septembre dans la ville de La Ceiba, au Honduras. Cette activité a rassemblé plus de 170 personnes et des dizaines de mouvements et d’organisations sociales, populaires et syndicales de la région.
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