Une entrevue de Dzodzi Tsikata, professeure de l’université du Ghana, explique clairement que « quiconque se déclare féministe doit obligatoirement reconnaître le lien entre les droits des femmes et le droit à la terre. » Par conséquent, ajoute-t-elle, « les droits des femmes touchent beaucoup de sphères reliées que l’on ne peut séparer. Si l’on se concentre uniquement sur un aspect et l’on ignore le reste, les droits des femmes ne se concrétiseront pas. »
Lire l’entrevue complète en espagnol à : https://www.brasildefato.com.br/2017/10/26/la-lucha-por-la-tierra-es-esencialmente-feminista-dice-investigadora-de-ghana/