Papouasie-Nouvelle-Guinée

Les autres informations 30 janvier 2009
El Proyecto para el Desarrollo de la Pequeña Agricultura (SADP por su nombre en inglés) es un préstamo del Banco Mundial recientemente otorgado al gobierno de PNG. Dicho proyecto, que representa un crédito de US$ 27,5 millones, “apunta a mejorar los ingresos de los agricultores de numerosas comunidades de las Provincias de Oro y Nueva Bretaña del Oeste”.
Articles de bulletin 5 décembre 2007
Les 85 000 hectares du territoire de l’île Woodlark, située dans la province de Milne Bay en Papouasie-Nouvelle-Guinée, sont presque entièrement couverts d’une dense forêt tropicale de plaine où habitent plusieurs espèces endémiques. La plupart des 6 000 habitants de l’île dépendent de l’environnement naturel et des ressources maritimes, pratiquent l’horticulture (ils plantent surtout des ignames, du taro, des patates douces et des bananes) ainsi que la pêche et la chasse, ces dernières jouant un rôle plus faible mais non moins important dans leur régime alimentaire.
Articles de bulletin 8 novembre 2007
L’expansion actuelle de la monoculture d’arbres n’est pas le fruit du hasard ni l’initiative de quelques gouvernements. Au contraire, c’est le résultat de l’action d’un ensemble d’organismes qui ont décidé de les promouvoir. Dans les années 1950, la FAO est devenue l’idéologue de la monoculture d’eucalyptus à grande échelle (dans le cadre de sa ‘Révolution Verte’) dans les pays du Sud, en réponse aux besoins des grandes entreprises industrielles qui étaient en train d’épuiser leurs sources habituelles de matière première.
Articles de bulletin 18 août 2007
Les grandes plantations de palmier à huile ont été une très mauvaise initiative pour les habitants de la PNG, et surtout pour les femmes, qui ont subi des changements radicaux dans leur vie, leur travail, leur sécurité et leur santé (voir le bulletin nº 120 du WRM).
Les autres informations 18 juillet 2007
De vastes forêts tropicales de la PNG ont été rasées pour faire de la place à des plantations de palmier à huile pour l’exportation, établies en application d’un « plan de regroupement de petits propriétaires ». Cela veut dire qu’une entreprise centrale qui possède ses propres plantations passe également des contrats avec de petits agriculteurs qui l’approvisionnent en fruits de palmier. La structure du système et les caractéristiques du palmier lui-même sont en train d’inquiéter sérieusement la société civile.
Articles de bulletin 1 août 2006
L’histoire sociale, économique et politique de la PNG a été façonnée par ses forêts tropicales. Ces forêts presque impénétrables qui couvrent 60 pour cent de la surface terrestre du pays ont limité le commerce, défini les lois coutumières et modelé la vie et la culture. Lorsque le monde pense à la PNG, il voit ses forêts. Or, l’exploitation de ces systèmes de vie incomparables corrode maintenant la société et la politique de la PNG ; si elle ne laisse que des bénéfices économiques négligeables, ses effets sur la région sont, par contre, alarmants.
Les autres informations 7 March 2006
Papouasie-Nouvelle-Guinée : des ONG locales s’opposent à un prêt de la Banque mondiale pour un projet de palmier à huile Grâce au système foncier communal de la Papouasie-Nouvelle-Guinée, qui leur permet d’accéder facilement et librement à la terre, à de l’eau propre et à des ressources naturelles abondantes, la plupart des communautés rurales pouvaient gagner correctement leur vie. Néanmoins, l’introduction des plantations de cultures de rente est en train de détériorer leurs structures et systèmes coutumiers et d’avoir des effets négatifs sur l’environnement et la société.
Articles de bulletin 26 janvier 2005
La Rainforest Alliance, basée aux États-Unis, conspire contre les efforts des groupes de conservation de la Papouasie-Nouvelle-Guinée pour combattre l'extraction forestière illégale et non durable, très répandue dans le pays.
Les autres informations 27 octobre 2004
Lorsque les Australiens prirent le contrôle, à la fin de la première guerre mondiale, de la colonie allemande de Nouvelle-Guinée, ils avaient le mandat de la Ligue des Nations de protéger les peuples indigènes. À l’époque, on croyait que la Nouvelle-Guinée n’avait qu’une population éparse installée surtout le long des côtes, et que l’intérieur montagneux n’était qu’un amas de collines trempées par la pluie et pratiquement vides.
Articles de bulletin 27 septembre 2004
Les représentants des communautés propriétaires de terres de la province d’Oro, en Papouasie-Nouvelle-Guinée, se sont réunis le 12 mars 2004 à Popondetta, au cours du premier Forum sur les Droits fonciers et la Gestion communautaire des Ressources naturelles. S’engageant à assurer la gestion durable des ressources et à protéger leurs droits à la propriété de ces ressources, ils ont déclaré:
Articles de bulletin 3 mai 2004
La Mélanésie, qui comprend la Papouasie-Nouvelle-Guinée, les îles Salomon, Vanuatu, Kanaky (la Nouvelle-Calédonie), les Fidji, le Timor-Oriental et la Papouasie occidentale (Indonésie), est unique au monde du fait que 95% de son territoire appartiennent encore aux autochtones sous la forme de propriété communautaire. Les forêts sous leur contrôle font partie des plus grandes forêts tropicales de la région Asie-Pacifique, qui figurent en troisième place après celles de l’Amazone et du Congo.
Articles de bulletin 12 février 2004
Les forêts sont le foyer de nombreux peuples, dont un nombre considérable de populations autochtones. Suivant une étude conduite en 1992 par l’Union européenne sur la situation des peuples autochtones dans les forêts tropicales humides, environ douze millions de personnes, soit 3,5% de la population totale des aires couvertes, habitaient les forêts tropicales du monde. Ce chiffre n’incluait pas les personnes habitant dans d’autres types de régions boisées.