Luttes contre les monocultures d’arbres
La recherche de profit par les entreprises se traduit par des accaparements de terres qui visent à mettre en place des monocultures industrielles d’arbres. Là où les plantations industrielles s’installent durablement, elles entraînent des incursions violentes dans les terres et les vies des communautés, la destruction de leurs forêts et la pollution de leurs sources d’eau. Lorsque les communautés résistent, les entreprises ont tendance à réagir de manière agressive. Malgré cette violence extrême, dans le monde entier, les communautés résistent, s’organisent et unissent leurs forces pour défendre leurs territoires. Chaque 21 septembre, la Journée internationale de lutte contre la monoculture d’arbres est célébrée.
En Mésoamérique, l’expansion de la monoculture du palmier à huile constitue une des principales causes de la déforestation. Des représentantes de communautés autochtones et paysannes se sont réunies pour tisser des liens de solidarité entre leurs résistances.
Disponible uniquement en espagnol.
La société Palmas del Ixcán s'est imposée au Guatemala, grâce à ce que les communautés appellent une « spoliation systématique ». Malgré la criminalisation des communautés, leur résistance ne cesse de se renforcer.
Plus de 10 000 personnes ont été expulsées pour laisser la place aux plantations d'arbres de la New Forests Company (NFC, enregistrée au Royaume-Uni), qui sont créées et financées dans le cadre du marché du carbone.
Les plantations à grande échelle de la New Forests Company (NFC), basée au Royaume-Uni, ont été et sont synonymes de violence, d'expulsions forcées et de misère pour des milliers d'habitants de Mubende, en Ouganda.
Signez cette lettre pour alerter les citoyens des pays du Nord! Empêchez les agences de développement de promouvoir l'expansion des plantations d'arbres à grande échelle qui détruisent des territoires. La lettre est ouverte à la signature jusqu'au 19 septembre.