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Le Network Social Responsibility (NeSoVe), un réseau d'ONG et de représentants de travailleurs, décerne le prix « Horreur de l'année » à des compagnies, des organisations, des institutions et des particuliers qui ont eu un comportement très irresponsable et indifférent aux atteintes à l'environnement ou à la société, se servant souvent de rapports très élaborés sur la responsabilité environnementale et sociale et faisant appel au lobbying et au mécénat. Ce prix infamant vise à révéler et à dénoncer ce comportement pour exiger que l'entreprise en soit responsable.
Observatoire des multinationales . Ressources en ligne et recherches en profondeur sur l'impact social, écologique et politique des multinationales françaises. http://multinationales.org/?lang=fr
Dans le monde entier, le « développement » est en train de priver les peuples tribaux de leurs terres, de leur autonomie et de leur fierté, les laissant sans rien. « Laissez-nous faire » est un court-métrage satirique de Survival International, qui raconte la destruction actuelle des peuples tribaux au nom du « développement ». http://www.survivalfrance.org/
Le 16 mai 2013, la Cour constitutionnelle d’Indonésie a promulgué une décision qui confirme que les forêts qui se trouvent dans des territoires indigènes sont des « forêts coutumières » et qu’elles ne devront plus être considérées comme des forêts domaniales. Les peuples autochtones de toute l’Indonésie ont bien accueilli la décision de la Cour constitutionnelle et ils ont commencé à restaurer leurs territoires endommagés par les activités des compagnies que l’État avait autorisées à opérer.
Sombath Somphone a été peut-être le plus important militant pour le développement communautaire du Laos, ainsi que le fondateur du Centre de formation en développement participatif (PADETC). Il a été vu pour la dernière fois pendant la nuit du 15 décembre 2012 dans une rue de Vientiane. D’après l’enregistrement d’une caméra de surveillance (CCTV), il a été arrêté par la police lorsqu’il circulait dans son propre véhicule ; il en est descendu, et quelques minutes plus tard il est monté dans un autre qui a disparu dans la nuit.
Le 16 mai 2013, la Cour constitutionnelle d’Indonésie a promulgué une décision qui confirme que les forêts qui se trouvent dans des territoires indigènes sont des « forêts coutumières » et qu’elles ne devront plus être considérées comme des forêts domaniales. Les peuples autochtones de toute l’Indonésie ont bien accueilli la décision de la Cour constitutionnelle et ils ont commencé à restaurer leurs territoires endommagés par les activités des compagnies que l’État avait autorisées à opérer.
L’Accord de partenariat Trans-Pacifique (TPP) est un traité de libre-échange négocié secrètement et de grande envergure, entre les États-Unis et douze pays riverains du Pacifique parmi lesquels figurent le Canada, le Mexique, la Nouvelle-Zélande et l’Australie. Des documents filtrés révèlent que le TPP donnerait aux transnationales le pouvoir de poursuivre en justice les gouvernements, dans des tribunaux privés et non transparents, au sujet de lois et de politiques susceptibles de diminuer leurs bénéfices.
Le Réseau contre REDD en Afrique (NRAN) a lancé une « Semaine d'action contre les fausses solutions », du 2 octobre à 4 novembre. Cette activité, à laquelle s'est joint le mouvement de convergence globale Reclaim Power! ( http://reclaimpower.net/ ), s'oppose à « l'énergie sale » et aux entreprises qui essaient de se donner une image écologique en proposant de fausses solutions, telles que REDD, le commerce du carbone, le MDP, « l'économie verte », la compensation de biodiversité, la technologie CCS, la géo-ingénierie et, bien entendu, le « charbon propre ».
Le gouvernement ayant décidé d’abandonner l’initiative de laisser le pétrole dans le sous-sol du Yasuní, et de commencer à l’extraire dans les zones dénommées ITT (ISHPINGO, TAMBOCOCHA et TIPUTINI), l’organisation de jeunes YASunidos a proposé d’exiger que la décision soit adoptée au référendum, comme prévu dans la Constitution. Cette proposition bénéficie d’un fort soutien et elle a donné lieu à une grande mobilisation pour réunir les 600 000 signatures de ressortissants équatoriens qui rendront possible la réalisation du référendum.