Bois
Des monocultures d’arbres à grande échelle, équiennes et gérées de manière intensive pour la production de bois d’œuvre, se sont étendues dans les terres fertiles des communautés. Elles ont détruit des forêts et des prairies, notamment en Amérique latine, en Asie et en Afrique australe et orientale. Les espèces utilisées sont exotiques et à croissance rapide. Il s’agit notamment de variétés d’eucalyptus, de pin et de teck.
À première vue, le village de Nzivi est un village comme beaucoup d’autres dans la région. Mais il présente une différence importante : ce village n’autorise pas les investisseurs à exercer des activités à grande échelle. Green Resources est la principale entreprise de plantations privée. (Disponible en swahili).
Presque tous les articles du présent bulletin du WRM portent sur les plantations d’arbres et certains d’entre eux parlent même des sceaux de certification déjà mentionnés et de la façon dont ceux-ci profitent dans les faits aux entreprises au détriment des communautés.
Nombreuses plantations de monocultures certifiées sont établies au Brésil sur des terres dont les titres de propriété ont été obtenus frauduleusement. Le présent article examine le cas de Agropalma et Jari Florestal.
Disponible uniquement en espagnol.
Depuis que l’on a détruit la végétation indigène entourant Quito pour faire place à des plantations d’eucalyptus et de pins, les feux de forêt s’intensifient année après année.
En 1989, une guerre a fait rage dans la vallée de Lila, Portugal. Des centaines de personnes se sont unies pour détruire 200 hectares d’eucalyptus, car elles craignaient que ces arbres leur volent l’eau et attirent le feu.