Malgré la déclaration faite début avril par le Tribunal vert national de l’Inde, suivant laquelle le permis environnemental de POSCO n’est valable que jusqu’au 19 juillet 2017, l’affaire n’est pas close et il y aura une nouvelle audience au début du prochain mois de mai. En attendant, la police a transformé la zone en une colonie répressive. Plus de 420 fausses accusations ont été présentées contre les villageois, et des mandats d’arrêt ont été délivrés contre plus de 2 000 personnes. Les réoccupations de terres ont fait l’objet de poursuites judiciaires et de fausses accusations. Plusieurs mouvements populaires ont organisé une manifestation de trois jours au début de cette année, et exigent que POSCO soit obligée à annoncer formellement qu’elle se retirera du projet sans délai, à rendre aux villageois toute la terre qu’elle a occupée, et à mettre fin à toute forme de répression.
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