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Les villages tribaux de Surma et de Golbojhi ont célébré leur libération le 1er mai, jour international du travail. Après 107 années de lutte, leurs habitants ont obtenu la propriété des forêts dont ils ont été tributaires des siècles durant. Habités par quelque 450 familles de la tribu Tharu, ces deux villages forestiers sont situés au cœur du parc national Dudhwa, dans le district de Lakhimpur d’Uttar Pradesh (U.P.).
Des femmes sud-asiatiques qui travaillent dans les domaines de la santé, de la nutrition, de la subsistance et de l’environnement se sont réunies à Dhaka, au Bangladesh, les 2 et 3 juillet 2011, à l’occasion de la Troisième Conférence annuelle du SWAN (South Asia Women’s Network, Réseau des femmes sud-asiatiques) dont le thème était « Les femmes sud-asiatiques et l’économie verte ».
Por Guadalupe Rodríguez,  Salva la Selva El precio del oro está en alza por décimo año consecutivo, dado que inversores, operadores y bancos centrales lo han buscado como refugio seguro. Se espera que se mantenga esta tendencia. La posesión de oro da seguridad frente a la situación inestable de la economía global, por lo que todos desean el codiciado metal. Y esto tiene consecuencias. Descargar el documento completo aquí
Nous avons reçu de nombreuses traductions de l’animation qui illustre graphiquement combien est erroné le point de vue adopté par la FAO pour définir les forêts. L’animation est disponible jusqu’à ce jour en anglais, espagnol, portugais, maya tsotsil, maya tseltal, maya popti, catalan, italien, aymara et finlandais.
Solo disponible en inglés - By Blessing Karumbidza and Wally Menne - The Timberwatch Coalition This study dissects a tree plantation carbon sink project at Idete in the Southern Highlands of Tanzania. The Norwegian company that owns the project, Green Resources Ltd, aims to register the project under the CDM (Clean Development Mechanism) so as to be able to generate carbon credits to sell to the Norwegian government.
Les Nations unies ont déclaré 2011 l’Année internationale des forêts. Dans ce contexte, le WRM a lancé une campagne qui cherche à mettre en question la définition de forêt de la FAO. Une des activités que nous avons organisées est la lettre ci-dessous, pour laquelle nous avons obtenu la signature de scientifiques et de professionnels des diverses disciplines qui abordent l’étude de la nature. La lettre sera présentée à la FAO le 21 septembre prochain, Jour international contre la monoculture d’arbres.
Ce que les grandes entreprises forestières ont fait sur nos territoires au Chili est si dévastateur, si triste et si définitif que cela nous rappelle la stratégie du choc [1] exposée par la journaliste Naomi Klein dans son livre homonyme.
Lorsque le Prix Nobel de la Paix, la Kényane Wangari Maathai, créa en 1977 le Mouvement Ceinture verte pour encourager la plantation d’arbres indigènes dans les bassins boisés, les réserves riveraines, les fermes privées auxquelles la population avait accès et les espaces publics, dans le but de préserver la diversité biologique locale, elle savait que l’introduction d’espèces exotiques pouvait avoir de graves effets sur l’équilibre de l’écosystème.
La Haute Cour de Kuching, capitale de l’État malais de Sarawak, dans l’île de Bornéo, a pris une décision historique lorsqu’elle a statué, le 20 février dernier, que tout accord de joint-venture entre une entreprise nationale et une entreprise étrangère de plantation de palmier à huile est en contravention au Code foncier qui prévoit que « une personne non native du Sarawak ne peut pas acquérir de droits ni de privilèges par-dessus le droit coutumier local ».
Montes del Plata est le nom sous lequel opèrent en Uruguay deux entreprises transnationales liées à l’industrie des forêts, de la cellulose et du papier : la chilienne Arauco et la suédo-finlandaise Stora-Enso. Dans le cas qui nous intéresse, elles se sont associées pour la construction et la mise en fonctionnement d’une usine qui fabriquera au moins 1 450 000 tonnes de pâte à papier.
Há alguns anos, as comunidades camponesas da província de Niassa, no norte de Moçambique, lutam contra a expansão das monoculturas de pinus e eucalipto. Essa expansão tem causado problemas porque está se dando sobre as chamadas machambas, áreas onde as famílias camponesas plantam alimentos. Agora, as comunidades ganharam um importante reforço na sua luta.