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El 6 de agosto culminó en Bonn una nueva ronda de negociaciones sobre el cambio climático de la Convención Marco de las Naciones Unidas sobre Cambio Climático (CMNUCC).
Face aux émissions de gaz à effet de serre qui se produisent à toutes les étapes de la chaîne de production, l'industrie du bois a le choix : elle peut considérer de réduire ces émissions, ou elle peut essayer de les dissimuler pour éviter toute responsabilité. Il n’est peut-être pas surprenant, vu ses antécédents, qu’elle soit en train de choisir la deuxième option.
La Norvège est un des principaux donateurs du Fonds pour l’Amazonie de la Banque brésilienne de développement, lequel reçoit des dons de gouvernements, institutions multilatérales, grandes ONG et entreprises pour financer des projets de conservation de la forêt dont le but supposé est de réduire les émissions de gaz à effet de serre découlant du déboisement.
Le palmier à huile est originaire de ce pays et d’autres pays de la région, où l’on utilise sa sève pour faire du vin et ses dattes pour la cuisine et pour fabriquer de l’huile par des méthodes artisanales. Ce produit était exporté même avant la création des plantations qui, en 1968, couvraient déjà 7 000 hectares. Ces plantations ont été développées à partir de variétés sélectionnées, originaires de l’Asie, dont le rendement était meilleur. Maintenant abandonnées, elles continuent de produire quelques régimes, semblables à ceux des palmiers indigènes, pour la consommation familiale.
Le 15 juillet nous avons reçu de la Fondation Amazonie durable (FAD) un message qui disait : « l’article ‘Brésil : le projet pilote REDD dans la réserve amazonienne de Juma’, publié dans le numéro 155 du bulletin mensuel du WRM, contient plusieurs inexactitudes au sujet du programme Bolsa Floresta et du projet REDD de Juma. Par conséquent, la Fondation Amazonie durable (FAD) a envoyé au WRM des éclaircissements pour qu’il les publie sur son site web ».
Le palmier à huile est originaire de ce pays et d’autres pays de la région, où l’on utilise sa sève pour faire du vin et ses dattes pour la cuisine et pour fabriquer de l’huile par des méthodes artisanales. Ce produit était exporté même avant la création des plantations qui, en 1968, couvraient déjà 7 000 hectares. Ces plantations ont été développées à partir de variétés sélectionnées, originaires de l’Asie, dont le rendement était meilleur. Maintenant abandonnées, elles continuent de produire quelques régimes, semblables à ceux des palmiers indigènes, pour la consommation familiale.
La FAO insiste à définir les plantations d’arbres comme des « forêts plantées », bien que cela de plus en plus difficile. Sa dernière contribution dans ce sens est la publication intitulée « Les forêts plantées dans la gestion forestière durable – Une déclaration de principes ».
L’Association pour la biologie tropicale et la conservation – une grande société professionnelle internationale sur les forêts tropicales – a récemment publié une résolution où elle « exhorte les Nations unies à modifier les définitions de forêt qui puissent induire en erreur ». La résolution dit : “ATTENDU QUE : la définition actuelle de ‘forêt’ employée par les Nations unies ne distingue pas entre forêts naturelles, forêts naturelles modifiées et plantations d’arbres ;
Controlled by the Indonesian Widjaja family, the Sinar Mas group is one of the largest conglomerates in Indonesia engaged in clearing rainforests and destroying peatlands for their several bussinesses, including the pulp and paper industry through the Sinar Mas’ pulp and paper division, Asia Pulp and Paper (APP).
Solo disponible en inglés By José Heder Benatti. This paper is a preliminary legal reflection on the role of common property in the Brazilian Amazon. It suggests the integration of two distinct normative scopes of the society, the legal right and consuetudinary law, with the objective to argue that the legal instruments of the Brazilian society can be used to protect the cultural and natural patrimony.
A la suite des deux récentes plaintes déposées par l’industriel français M. Vincent Bolloré contre Radio France sur le thème, notamment, des plantations de la Socapalm (Société Camerounaise de Palmeraies), la photographe Isabelle Alexandra Ricq et le chercheur Julien-François Gerber reviennent points par points sur dix mensonges fréquemment avancés par les défenseurs de l’homme d’affaire.