Solo disponible en portugués e inglés
Soberania alimentar, agricultura camponesa e impactos ambientais são temas ainda pouco discutidos quando se fala em biocombustíveis
Les autres informations
Durante más de una década los políticos y científicos al servicio de las grandes transnacionales calificaron de alarmistas y poco fundamentadas las previsiones sobre la incidencia de nuestro modelo energético en el Cambio Climático. Ahora, a partir del 2006, asistimos al espectáculo de ver como estas mismas fuentes, que tanto dinero gastaron en estudios que “probaban” la inexistencia del fenómeno, son las que están desarrollando una vasta campaña de concienciación sobre los peligros del Cambio Climático.
Les plantations d’eucalyptus avancent sur de vastes régions du pays, occupant les territoires des populations traditionnelles, déplaçant celles-ci, chassant les gens de la campagne et contribuant ainsi à la formation de ceintures de misère, avec le contexte de violence et de criminalité que cela comporte nécessairement. Et pour couronner le tout, les monocultures réclament aussi leur tribut de sang.
La perte de terres et celle de l’accès aux ressources naturelles sont en train de provoquer une crise économique chez les populations rurales du Cambodge. « Les gens sont dépossédés de leurs terres par ceux qui ont de l’argent et du pouvoir politique », écrit Shalmali Guttal dans un rapport récemment rédigé pour Focus on the Global South.*
En décembre passé, quatre personnes (un Camerounais, un couple de Suisses et un Uruguayen) empruntaient le chemin public qui traverse les plantations de palmiers à huile de Socapalm (Société Camerounaise des Palmeraies) dans la région de Kribi. Arrivés vers la barrière de contrôle installée par l’entreprise – que nous avions déjà traversée auparavant dans la même journée –, un garde de sécurité privé nous a retenus et a exigé nos pièces d’identité.
Le Tribunal permanent des Peuples – Chapitre Colombie s’est réuni du 26 au 27 février 2007 au Bajo Atrato, pour juger les sociétés transnationales dans la cause de la diversité biologique et de l’exploitation des ressources naturelles en Colombie.
Les plantations de Sappi au Swaziland sont l’exemple même de ce que les plantations industrielles d’arbres ont de mauvais. En plus de cinquante ans, elles ont fait moins que rien pour le développement des habitants du pays. Des prairies riches en espèces ont été détruites et les gens déplacés lorsque ces plantations ont été établies dans les années 1950, dans le cadre d’un projet britannique « d’aide ». Il s’agit de monocultures de pins, une essence exotique au Swaziland. Chaque année, Sappi en abat 3 000 hectares, laissant le paysage sillonné de grandes cicatrices.
Por Raúl Zibechi
Desde que el proyecto del ALCA fracasó en la Cumbre de Mar del Plata, en noviembre de 2005, el viaje de George W. Bush a Brasil y Uruguay, como parte de una gira que lo lleva también a México, Guatemala y Colombia, es el más ambicioso intento por volver a posicionarse en la región. El eje de la nueva estrategia de integracion disenado desde Washington es el acuerdo sobre etanol con Brasil.
L’année dernière, près de 170 agriculteurs de la communauté de South Riana se sont réunis pour faire connaître leurs inquiétudes et chercher la manière d’éviter que des terres de grande valeur pour l’agriculture soient affectées à la plantation d’arbres. Soucieux de l’avenir de la zone – peuplée d’entreprises laitières et agricoles prospères – ils ont demandé au gouvernement de la Tasmanie d’arrêter le développement des plantations d’arbres dans des terres agricoles de première qualité.
Dans le Sud de l’État brésilien de Bahia, à 45 kilomètres environ de la côte océanique, sur la frontière des municipalités d’Eunápolis et Belmonte, se trouve l’usine de pâte de Veracel. Cette société, qui appartient à parts égales au groupe suédo-finnois Stora Enso et à Aracruz du Brésil, dirige aujourd’hui l’un des projets de culture et d’industrialisation d’eucalyptus les plus grands du monde.
Selon la définition de la FAO, les plantations d’hévéas sont des “forêts”. Nous nous sommes récemment rendus dans l’une de ces “forêts”, vers Kribi, au Cameroun, et nous y avons rencontré des travailleur-e-s et des villageoi-e-s riverain-e-s. A la différence des “experts” de la FAO, personne, absolument personne, ne nous a dit percevoir ces plantations comme des forêts.
L’ONG indienne Samata et le Forest Peoples Programme du Royaume-Uni ont trouvé que le plan d’action pour la réinstallation (RAP) financé par le Projet de gestion des forêts communautaires d’Andhra Pradesh (APCFMP) de la Banque mondiale porte atteinte aux droits coutumiers et aux moyens de subsistance et qu’il enfreint à de multiples égards les politiques de sauvegarde de la Banque sur les peuples autochtones et la réinstallation involontaire.
Pagination
- Première page
- Page précédente
- …
- 88
- 89
- 90
- 91
- 92
- 93
- 94
- 95
- 96
- …
- Page suivante
- Dernière page