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Au Brésil, l’adoption d’une nouvelle matrice énergétique par le biais de l’agriculture, présente chaque jour dans les médias, remporte de plus en plus l’adhésion de la société et vient donner une justification économique au développement de la campagne. Très vite, la production de carburants commence à concurrencer la production d’aliments dans l’affectation des terres. Ce changement de la perception sociale devient très évident dans les nombreux reportages où les producteurs ruraux et les propriétaires terriens sont présentés comme les nouveaux propriétaires de « champs de
Au Cameroun, comme dans d’autres pays africains producteurs tels que la Côte d’Ivoire ou la Ghana, la production d’huile de palme se répartit entre 3 secteurs : un secteur agro-industriel, des plantations villageoises au service des agro-industries, et un secteur artisanal traditionnel. Même si elle doit faire face à la domination indonésienne et malaise du marché, le secteur agro-industriel du palmier à huile au Cameroun a plusieurs atouts en main.
Le monde occidental, le Nord en particulier, est devenu dépendant des combustibles fossiles, provoquant quelque chose que personne aujourd’hui ne met plus en doute : le changement climatique. Beaucoup de solutions ont été proposées pour y faire face, mais peu d’entre elles s’opposent à la conduite suicidaire de l’humanité.
L’Indonésie est un des pays les plus peuplés et ruraux du monde : sa population totale est de 220 millions de personnes.
La Malaisie et l’Indonésie sont les plus grands producteurs du monde d’huile de palme crue pour l’exportation, mais cela leur coûte cher. D’après un rapport de 2005 des Amis de la Terre, 87 % du déboisement effectué ces derniers temps en Malaisie ont été dus aux plantations de palmier à huile. Les forêts tropicales du pays étant l’un des écosystèmes les plus riches de la planète, leur élimination représente une menace grave pour d’innombrables espèces végétales et animales.
La última Conferencia de las Partes (COP8) de la Convención sobre Diversidad Biológica (CBD) adoptó una importante Decisión en relación con los árboles genéticamente modificados e invitó a todos “a ofrecer opiniones e información pertinente a la Secretaría para su inclusión en la evaluación”.
Dans notre numéro précédent (bulletin nº 110 du WRM) nous avons publié une section sur « le pire en matière de certification de plantations », où figurait le cas du Système de certification forestière paneuropéen (PEFC), un programme pour la reconnaissance des systèmes de certification nationaux.
J’ai eu récemment l’occasion de me rendre en Inde, dans la province de Bengale occidental, et de visiter les « villages forestiers » de Dhoteria, Bagora et Mayung, situés dans les districts de Darjeeling, Kurseong et Kalimpong.
United Fiber Systems prévoit d’ouvrir cette année une nouvelle usine de particules de bois, d’une capacité de 700 000 tonnes, sur l’île de Pulau Laut. Cette usine est le premier pas de l’expansion de l’industrie de la pâte proposée par l’UFS pour le Kalimantan. Le bois en particules sera exporté en Chine pour alimenter les usines de pâte et de papier.
La conférence sur les plantations forestières de l’Union internationale des instituts de recherches forestières (IUFRO), intitulée « Aménagement forestier durable avec des plantations à croissance rapide », qui eut lieu du 10 au 13 octobre 2006, rencontra une forte opposition de la part de plusieurs organisations écologistes et pour la justice environnementale.
Le système de certification SFI (Sustainable Forestry Initiative), lancé en 1995 par l’American Forest & Paper Association (AF&PA), l’association la plus puissante du monde en matière de commerce de bois, concerne une étendue de 40 485 830 ha dans les États-Unis et le Canada. En essence, il s’agit d’un système créé par l’industrie forestière pour l’industrie forestière.