Articles de bulletin

Souvent cachées, ignorées ou méconnues, les causes profondes de la déforestation sont multiples et variées. Elles peuvent même être bizarres. Beaucoup de personnes savent que la surconsommation dans les pays à hauts revenus est une cause importante du déboisement, mais elles ne savent pas que le mode d’alimentation des animaux domestiques britanniques est partiellement responsable de la disparition des forêts asiatiques.
Le 24 mai dernier, les leaders du Conseil national des saigneurs d’hévéas (CNS), José Cláudio Ribeiro da Silva et son épouse, Maria do Espírito Santo, ont été assassinés par des tueurs à gages dans le Sud-Est de l’État de Pará, en Amazonie, près du hameau où ils vivaient. Ils avaient lutté pour l’utilisation durable et diversifiée de la forêt, pour la maintenir debout, en dénonçant l’extraction illégale de bois et la déforestation. Deux meurtres supplémentaires sont venus s’ajouter à la longue liste qui semble n’avoir pas de fin...
Après presque cinq mois de tergiversations, la suspension pendant deux ans de l’exploitation forestière en Indonésie vient de démarrer. Le président Susilo Bambang Yudhoyono devait choisir entre deux options : une version du moratoire aurait empêché d’accorder de nouvelles concessions dans toutes les forêts et tourbières ; une autre, s’appliquerait seulement aux forêts et tourbières primaires. Yudhoyono a penché pour la deuxième.
Les Shawi, connus aussi comme Chayahuitas, habitent le territoire qui comprend les bassins des rivières Paranapuras et Cahuapanas, qui font partie des provinces d’Alto Amazonas (Loreto) et de San Martín (département de San Martín). Distribués dans environ 180 communautés, les Shawi partagent une organisation sociale et un système de représentation symbolique. Chasseurs et cueilleurs de tradition, ils sont aussi horticulteurs [1] et cultivent surtout le manioc, le bananier, le maïs, le haricot, l’arachide, le riz, l’ananas, la papaye, le coton et le tabac.
Ce mois-ci, le 22 avril, nous célébrons la Journeé de la Terre, née dans les années 1970 de la préoccupation d’activistes écologistes au sujet de la pollution et de la dégradation de l’environnement qui portent atteinte à la diversité biologique et, à long terme, à la survie de la planète. La célébration a pour but de sensibiliser le public à ces problèmes.
India continues to be one of the ‘hottest’ locations for carbon ‘offset’ projects despite the global carbon market slump: as of now, about 1700 projects claim to have achieved emission-reduction, and hence eligibility to sell carbon credits. Large Indian corporations control most of these projects irrespective of sector and geographical location, and instead of cleaning up the atmosphere the projects almost uniformly pollute people’s lives and the environment.
En México, la deforestación avanza a un ritmo acelerado, al compás de diversos megaproyectos: la rápida expansión de monocultivos industriales de palma aceitera y plantaciones de jatrofa para la producción de biocombustible; la construcción de represas; las concesiones mineras; la creación de centros de reasentamiento de complejos prefabricados en los sitios estratégicos de extracción de recursos y reconversión de la tierra; el turismo en gran escala; las carreteras, que viabilizan los proyectos.
SAY NO to mining in Palawan Province, the home of the best-conserved and most ecologically diverse forest in the Philippines. Sign the on-line signature petition to deliver a strong message to the Philippine and Palawan governments demanding for an immediate stop of ongoing and pending mining activities in Palawan and for the non-endorsement of new mining applications.Here is the link to the petition launched by the Save Palawan Movement: http://www.intellithink.com.ph/wordpress/
La non-reconnaissance des droits territoriaux des peuples autochtones et traditionnels a été reconnue comme l’une des principales causes profondes du déboisement.
El 4 de abril, la Comisión Interamericana de Derechos Humanos (CIDH) de la Organización de los Estados Americanos (OEA) solicitó oficialmente que el gobierno brasileño suspenda de inmediato el proceso de autorización y construcción del Complejo Hidroeléctrico de Belo Monte, en el Estado de Pará. Conforme a la CIDH, todas las comunidades tradicionales de la cuenca del río Xingu, afectadas por la construcción de la represa, deben ser consultadas de manera “previa, libre, informada, de buena fe y culturalmente adecuada”.
Ce mois-ci, une nouvelle session des pourparlers de l’ONU sur le changement climatique, la première après la conférence de Cancún de décembre dernier, a eu lieu à Bangkok. Les discussions portaient sur de nombreuses questions au sujet desquelles on n’était pas arrivé à un accord à Cancún. Les options proposées allant de mal en pis, les organisations de femmes ont élevé la voix pour réclamer avec force des solutions réelles.
Le terme « forêt épuisée » provient d’une proposition très discutée faite par le Brésil au cours des pourparlers de la CCNUCC qui ont eu lieu à Poznan. L’intérêt du Brésil à modifier le Mécanisme de développement propre (MDP) pour y inclure les « forêts épuisées » est dû au fait que cela permettrait au MDP d’accorder, dans le cadre du Protocole de Kyoto, des crédits pour reboiser des forêts qui ont été surexploitées au point de les « épuiser » et qui, sans cet apport d’argent supplémentaire, ne seraient pas replantées.