Les Shawi, connus aussi comme Chayahuitas, habitent le territoire qui comprend les bassins des rivières Paranapuras et Cahuapanas, qui font partie des provinces d’Alto Amazonas (Loreto) et de San Martín (département de San Martín). Distribués dans environ 180 communautés, les Shawi partagent une organisation sociale et un système de représentation symbolique. Chasseurs et cueilleurs de tradition, ils sont aussi horticulteurs [1] et cultivent surtout le manioc, le bananier, le maïs, le haricot, l’arachide, le riz, l’ananas, la papaye, le coton et le tabac.
Articles de bulletin
Ce mois-ci, le 22 avril, nous célébrons la Journeé de la Terre, née dans les années 1970 de la préoccupation d’activistes écologistes au sujet de la pollution et de la dégradation de l’environnement qui portent atteinte à la diversité biologique et, à long terme, à la survie de la planète. La célébration a pour but de sensibiliser le public à ces problèmes.
India continues to be one of the ‘hottest’ locations for carbon ‘offset’ projects despite the global carbon market slump: as of now, about 1700 projects claim to have achieved emission-reduction, and hence eligibility to sell carbon credits. Large Indian corporations control most of these projects irrespective of sector and geographical location, and instead of cleaning up the atmosphere the projects almost uniformly pollute people’s lives and the environment.
En México, la deforestación avanza a un ritmo acelerado, al compás de diversos megaproyectos: la rápida expansión de monocultivos industriales de palma aceitera y plantaciones de jatrofa para la producción de biocombustible; la construcción de represas; las concesiones mineras; la creación de centros de reasentamiento de complejos prefabricados en los sitios estratégicos de extracción de recursos y reconversión de la tierra; el turismo en gran escala; las carreteras, que viabilizan los proyectos.
SAY NO to mining in Palawan Province, the home of the best-conserved and most ecologically diverse forest in the Philippines. Sign the on-line signature petition to deliver a strong message to the Philippine and Palawan governments demanding for an immediate stop of ongoing and pending mining activities in Palawan and for the non-endorsement of new mining applications.Here is the link to the petition launched by the Save Palawan Movement: http://www.intellithink.com.ph/wordpress/
La non-reconnaissance des droits territoriaux des peuples autochtones et traditionnels a été reconnue comme l’une des principales causes profondes du déboisement.
El 4 de abril, la Comisión Interamericana de Derechos Humanos (CIDH) de la Organización de los Estados Americanos (OEA) solicitó oficialmente que el gobierno brasileño suspenda de inmediato el proceso de autorización y construcción del Complejo Hidroeléctrico de Belo Monte, en el Estado de Pará.
Conforme a la CIDH, todas las comunidades tradicionales de la cuenca del río Xingu, afectadas por la construcción de la represa, deben ser consultadas de manera “previa, libre, informada, de buena fe y culturalmente adecuada”.
Ce mois-ci, une nouvelle session des pourparlers de l’ONU sur le changement climatique, la première après la conférence de Cancún de décembre dernier, a eu lieu à Bangkok. Les discussions portaient sur de nombreuses questions au sujet desquelles on n’était pas arrivé à un accord à Cancún.
Les options proposées allant de mal en pis, les organisations de femmes ont élevé la voix pour réclamer avec force des solutions réelles.
Le terme « forêt épuisée » provient d’une proposition très discutée faite par le Brésil au cours des pourparlers de la CCNUCC qui ont eu lieu à Poznan. L’intérêt du Brésil à modifier le Mécanisme de développement propre (MDP) pour y inclure les « forêts épuisées » est dû au fait que cela permettrait au MDP d’accorder, dans le cadre du Protocole de Kyoto, des crédits pour reboiser des forêts qui ont été surexploitées au point de les « épuiser » et qui, sans cet apport d’argent supplémentaire, ne seraient pas replantées.
Le WRM dénonce depuis longtemps la définition de forêt que donne la FAO. Nous croyons que cette définition est, en fait, une cause indirecte de la déforestation. En effet, en considérant les forêts comme de simples « terres d’une superficie minimale de 0,5 ha portant des arbres d’une hauteur d’au moins 5 mètres, dont le houppier couvre plus de 10 % de la surface, ou des arbres qui peuvent atteindre cette hauteur à maturité » [*], la FAO permet de considérer comme des forêts les plantations industrielles d’arbres.
Pendant la dernière décade, à une époque de changements climatiques chaque fois plus visibles, les grandes entreprises, les banques et les gouvernements parlent beaucoup de promouvoir des projets d’énergie « propre ». Il s’agit des formes de production d’énergie qui ne s’appuient pas sur les combustibles fossiles.
Ainsi, dans plusieurs pays on est en train de reprendre et d’élargir, par exemple, les projets de production d’énergie nucléaire.
Par une chaude journée de mai, un paysan laotien du nom de Bounsouk regarde la vaste étendue d’eau qu’il a devant lui, le réservoir de 450 kilomètres carrés derrière le nouveau barrage Nam Theun 2. Au fond de ce lac se trouve la terre où autrefois il vivait, plantait du riz, élevait des buffles et cueillait dans la forêt des fruits, des baies, des plantes médicinales et des épices. À présent il n’y a là que de l’eau, de l’eau partout.
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