Articles de bulletin

  D’après The World’s Mangroves 1980-2005 (FAO 2007), l’Indonésie possède la plus large étendue de mangroves du monde. Néanmoins, aussi bien la quantité que la qualité de ces mangroves ont diminué d’année en année. En 1982, ces forêts indonésiennes couvraient une superficie de 4,25 millions d’hectares, tandis que, d’après les estimations, en 2009 n’atteignaient pas 1,9 million d’hectares (KIARA, 2010).
(Photo: SSNC)   L’accaparement de terres et les cas d’intimidation constatés par une équipe de chercheurs de la Société suédoise pour la conservation de la nature (SSNC) dans les zones d’élevage de crevettes des environs de Khulna touchent des familles entières dont les terres et les moyens de subsistance ont été détruits.
El efecto del acaparamiento de tierras por parte de los proyectos de conservación es raramente contemplado en el debate actual sobre “acaparamiento de tierras” global. En Tanzania, donde alrededor del 40% de la superficie terrestre del país se encuentra bajo alguna forma de protección ambiental, las zonas de conservación han aumentado en forma sostenida desde tiempos coloniales, llevando a la pérdida de tierras y de acceso para los pequeños agricultores, pastores y pescadores.
Cela fait plus de 20 ans que l’industrie crevettière a pris de l’essor grâce à l’élevage dans des fermes ; depuis, elle a eu de graves effets sur les mangroves et s’est accompagnée d’innombrables violations des droits de l’homme à l’égard des habitants de ces écosystèmes.
Les nouvelles qui arrivent d’Europe ou des États-Unis décrivent un panorama de crise économique et financière grave, où la croissance de l’économie est limitée ou nulle, les investissements sont rares et le taux de chômage élevé. Or, depuis que la crise a commencé il y a environ cinq ans, on constate aussi une accélération de l’investissement dans la terre et dans les plantations industrielles d’arbres et d’autres cultures en Amérique latine, en Afrique et en Asie, au moyen de divers fonds d’investissement dont la plupart appartiennent aux pays industrialisés du Nord en crise.
L’apparition des « dragons du papier ». (Disponible en indonésien).
On vient d’apprendre que le consortium Montes del Plata, qui regroupe l’entreprise papetière suédoise/finlandaise Stora Enso et l’entreprise forestière chilienne Arauco, a vendu au gestionnaire de fonds d’investissement états-unien GMO 45 000 hectares, presque tous plantés d’arbres, situés dans les départements de Tacuarembó et de Rivera. [1]
Les membres de l’Union nationale des paysans du Mozambique, UNAC, et des représentants d’organisations non gouvernementales internationales, après la Conférence internationale sur le développement africain organisée à Tokyo, ont réclamé aux gouvernements du Japon, du Brésil et du Mozambique la suspension du programme ProSavana.
En ce moment, les divers comités du Parlement européen doivent prendre des décisions importantes en matière de biocarburants, et des débats ont lieu à ce sujet au sein du Conseil. Plus de cent organisations (y compris plusieurs coalitions qui en représentent beaucoup d’autres) ont signé une lettre ouverte aux autorités de l’UE concernant la politique européenne en matière de biocarburants.
Tras el anuncio del presidente de Ecuador de realizar una evaluación para la recolección de fondos del proyecto Yasuní – ITT, con un claro interés de explotación petrolera, la iniciativa Guardianes del Yasuní convocó a una acción de vigilia en defensa del bosque. Y declaró: “El Sumak Kawsay (buen vivir) es posible sin petróleo, como lo ha demostrado la gran diversidad de vida en el Yasuní junto con los pueblos milenarios que han sabido coexistir con ella. No hay precio que valga para destruir esta parte del paraíso ecuatoriano.