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Cet article, rédigé pour le réseau de recherche et de communication Alba Sud, jette un regard critique sur les territoires monopolisés par les investissements touristiques, en se centrant sur l’Amérique centrale et les Caraïbes. La pénétration de l’investissement dans le tourisme et l’immobilier, accompagnée de certaines lois et de politiques publiques, provoque une métamorphose radicale de l’aménagement du territoire.
Cette publication donne un panorama détaillé et des preuves basées sur une investigation sur le terrain des conséquences des plantations de pins et d’eucalyptus pour les communautés de trois provinces mozambicaines, en se centrant sur l’une des principales entreprises qui fonctionnent au Mozambique et dans l’Afrique du sud et de l’ouest : la société norvégienne Green Resources.
La société portugaise Portucel Mozambique est l’entreprise de plantation qui possède la concession foncière la plus large : 356 000 hectares.  Parmi ses projets figure la construction d’une usine qui produira de la pâte à papier pour l’exporter vers le marché asiatique.
Dans toute la région du Mékong, le type de « développement » promu par les gouvernements accorde la priorité à la privatisation et à la libéralisation du commerce et des investissements. Presque tous les secteurs de l’économie recherchent l’investissement privé.
Les nombreuses communautés panaméennes touchées par l’industrie minière, les organisations écologistes, les défenseurs des droits de l’homme, les mouvements sociaux et citoyens rejettent catégoriquement cette industrie exploiteuse et meurtrière. Les témoignages des familles concernées et les dégâts écologiques provoqués par l’industrie minière au Panama sont des raisons suffisantes pour stopper les transnationales minières qui fonctionnent dans le pays.
Des millions de paysans traditionnels et de communautés indigènes du monde entier voient réduit leur accès à leurs terres et leurs forêts parce que celles-ci sont monopolisées et contrôlées par des propriétaires terriens et de grandes entreprises. “The Right to Resist Land Grabs” (Le droit de résister aux accaparements de terre) est un court-métrage qui raconte l’histoire de l’accaparement et la répression que subissent les communautés, et de la résistance de la population. Le film en anglais :
Les preuves indiscutables des forts préjudices que subissent les habitants et les réserves d’eau des Philippines, jointes à la découverte de nombreuses violations de la législation environnementale, ont poussé le gouvernement à interdire toute nouvelle mine d’or, de cuivre, de nickel et d’argent à ciel ouvert.
QMM, filiale malgache de Rio Tinto (une société minière anglo-australienne), est en train d’extraire de l’ilménite à Fort-Dauphin, Madagascar, pour l’exporter vers le Canada. Pour compenser la destruction provoquée par cette activité minière, QMM a mis en œuvre un projet de compensation de biodiversité dans une autre forêt située à 50 km au nord du site de la mine.
Le Comité de solidarité norvégien pour l’Amérique latine, qui lance des débats sur les principes éthiques des investissements norvégiens, et un réseau d’organisations norvégiennes ont invité des Guatémaltèques, des Honduriens, des Brésiliens et des Samis suédois à présenter leurs histoires, leurs recherches et leurs réflexions à un tribunal populaire, en mars 2017.
The report “Portucel – the Process of the access to Land and the rights of local communities” was published by Justiça Ambiental/Friends of the Earth Mozambique in 2016, in partnership with the World Rainforest Movement (WRM). Portucel Mozambique is a Portuguese company with the biggest land concession among the plantation companies – 356,000 ha – . Its project includes the construction of a pulp mill for export in future to the Asian market.
The report “The Progress of Forest Plantations on the Farmers Territories in the Nacala corridor: the case of Green Resources Mozambique”   was launched in 2016 by the Mozambican organisations Livaningo, UNAC (National Peasants Union) and Justiça Ambiental/Friends of the Earth Mozambique, and written by Lexterra.