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L'industrie de l'énergie hydro-électrique a toujours dépendu des subsides pour la construction des grands barrages. A présent, les défenseurs de l'hydro-électricité déclarent que les barrages sont « respectueux de l'environnement », en une tentative désespérée d'obtenir pour eux le financement du carbone.
« Pour éviter le changement climatique, nous devons changer. » [devise de la COP 10] La possibilité de participer comme observateur à la 10 e Conférence des Parties à la Convention sur le Changement climatique, organisée à Buenos Aires en décembre dernier, a tout de suite éveillé en moi des expectatives contradictoires.
Solo disponible en inglés -  by Phetsavanh Sayboualaven 1) Introduction
Wangari Maathai et Florence Wambugu ont des opinions diamétralement opposées sur la plantation d’arbres au Kenya. L’approche de Maathai est anticolonialiste et favorable à l’autonomie de ceux qui plantent des arbres. Celle de Wambugu est néocolonialiste, et rend ceux qui plantent des arbres dépendants de la biotechnologie.
Les défenseurs des plantations industrielles d’arbres allèguent que les plantations peuvent diminuer la pression sur les forêts naturelles. Or, l’industrie brésilienne de la pâte et du papier montre bien qu’il s’agit là d’un mythe de la propagande pro-industrielle : plutôt que de planter plus de bois sur moins de terres, elle plante davantage de bois sur plus de terres. Chaque année, les plantations grandissent ; chaque année, les forêts diminuent.
Le secteur forestier chilien semble n’accepter pas de limites à l’expansion de ses monocultures de pins et d’eucalyptus. D’une part, il a eu recours à la répression et aux mensonges pour affronter l’opposition locale. D’autre part, il s’est étendu vers d’autres pays, tels que l’Argentine et l’Uruguay, où il a établi aussi bien des plantations que des entreprises forestières et papetières, atteignant ainsi de ses impacts d’autres environnements et populations.
Les 21 000 Yanomami, qui habitent environ 360 hameaux largement dispersés dans les montagnes et les collines boisées situées entre le Venezuela et le Brésil, n’avaient presque pas eu de contact avec les Occidentaux avant le milieu du XXe siècle.
Les Twa, un peuple ‘pygmée’ de la région des Grands Lacs, en Afrique centrale, étaient à l’origine des chasseurs-cueilleurs des forêts d’altitude qui entourent les lacs Kivu, Albert et Tanganyika. Ces régions appartiennent à l’heure actuelle au Rwanda, au Burundi, à l’Ouganda et à la partie orientale de la République démocratique du Congo (RDC). On estime que la population actuelle des Twa est de 82 000 à 126 000 personnes.
Les Malapantaram sont une communauté nomade d’environ 2 000 personnes qui habitent les forêts des montagnes Ghat, dans le Sud de l’Inde. Les premiers écrivains qui ont parlé d’eux les ont décrits comme « des sauvages de la jungle » ou « des sortes de montagnards errants » ; ils ont eu tendance à les considérer comme des isolés sociaux, derniers représentants d’une culture de la forêt vierge.
Lorsque les Australiens prirent le contrôle, à la fin de la première guerre mondiale, de la colonie allemande de Nouvelle-Guinée, ils avaient le mandat de la Ligue des Nations de protéger les peuples indigènes. À l’époque, on croyait que la Nouvelle-Guinée n’avait qu’une population éparse installée surtout le long des côtes, et que l’intérieur montagneux n’était qu’un amas de collines trempées par la pluie et pratiquement vides.
Muchas personas no saben que todavía hay pueblos indígenas que viven en aislamiento voluntario, algunos de los cuales han sido contactados y otros no, en particular en los trópicos. En general la gente tampoco es consciente de los impactos resultantes de los contactos, tanto libres como forzados, de estos pueblos con el mundo exterior.
Carta conjunta enviada --por 56 organizaciones del Sur y 65 del Norte (muchas de estos ultimos de los paises del oriente de europa) además de 3 firmas de individuos-- al BM y a la CFI  Mr. James Wolfensohn President World Bank Group 1818H Street, NW Washington DC 20433